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> Le Groenland, américain ?? De l'art inuit sur la lune, Tatouages, Changements à la galerie...
Le Groenland, américain ??
Début janvier, à quelques jours de son investiture, le président Donald Trump a déclaré vouloir acheter le Groenland ! Comme en 2019 déjà, lors de son précédent mandat...Il n'est d'ailleurs pas le premier homme politique américain à s'intéresser à l'île. A plusieurs reprises, les Etats-Unis avaient proposé d’acquérir le Groenland : en 1867, en 1910, et après la Seconde Guerre mondiale..
L'enjeu serait aujourd'hui de contrer les influences croissantes dans cette région stratégique de la Russie et de la Chine, qui présentent un risque pour la sécurité nationale des Etats-Unis.
Une base militaire américaine étant déjà implantée au Groenland, l'étendre permettrait de renforcer la surveillance des mouvements navals russes dans l'Océan Arctique et l'Atlantique nord.
D'autre part, les sols arctiques contiennent des gisements de "minéraux critiques", des matières premières nécessaires à la fabrication de nombreux produits et appareils technologiques spécialisés. Or, la Chine, qui est l'un des principaux fournisseurs mondiaux de ces minéraux, a augmenté les restrictions de ses exportations, dans le cadre de la guerre commerciale qui l'oppose aux Etats-Unis..Accéder aux considérables richesses minérales du Groenland permettrait aux américains de sécuriser leur chaîne d'approvisionnement, tout en limitant l'influence chinoise en la matière.
A ces aspirations économiques concurrentes, s'ajoute la coopération militaire entre la Chine et la Russie, les 2 puissances rivales des Etats-Unis...
Pour Trump, le contrôle du Groenland est donc "une nécessité absolue", n'excluant pas, lors d'un entretien du 7 janvier dernier, le recours à la force économique ou militaire, pour y parvenir...
Le Groenland et le Danemark ont bien sûr tous deux rejeté "l"offre" du président élu, affirmant que l'île n'était pas à vendre...Tandis que d'autres pays d'Europe, comme la France ou l' Allemagne ont vivement condamné ses propos.
Bien que fondé sur une réalité géopolitique, ce projet risque de dégrader les relations de Washington avec ses plus proches alliés, d'affaiblir l'Otan, et de ce fait l'influence même des Etats-Unis sur la scène internationale.
Par ailleurs, dans un contexte où le Groenland cherche à obtenir son indépendance vis-à-vis du Danemark, le premier ministre groenlandais Mute Edege a déclaré, à la suite des propos du président américain , qu'il appartient à ce territoire "lui-même de décider de son indépendance", tout en indiquant : " nous avons commencé à entamer un dialogue et à chercher des possibilités de coopération avec M Trump". envisageant un éventuel renforcement des liens avec les Etats-Unis, dans l'objectif de garantir la sécurité dans l'Arctique.
De l'Art inuit sur la lune !
Avez-vous déjà entendu parler du Lunar Codex, ce projet fou du physicien et collectionneur canadien Samuel Peralta, d'envoyer 40 000 œuvres d'artistes, écrivains, musiciens et réalisateurs du monde entier sur la lune, en format numérique ?
En tout, 25 000 artefacts culturels : romans, musiques, poèmes, films et arts visuels , mais également catalogues d'expositions ou de ventes aux enchères, seront envoyés dans l'espace, à travers 7 missions de la NASA, représentant au total 259 pays et territoires, et 149 nations autochtones.
Trois capsules de ces archives de notre civilisation ont été envoyées depuis 2022...La quatrième, propulsée le 14 janvier, a la particularité de ne contenir que des œuvres autochtones, dont une grande partie en provenance du Canada. A ce propos, Samuel Peralta déclare : "Je pense qu'il s'agit d'un premier pas vers la vérité et la réconciliation, et je trouve cela très important".
Le projet comprend des contributions de diverses institutions, notamment celle du Musée d'art inuit de Toronto (désormais fermé), ou celle du Relations Couronne-Autochtones et Affaires du Nord Canada (RCAANC).
Lors de missions ultérieures prévues pour 2025, seront envoyées, entre autres, des œuvres du célèbre artiste des Territoires du Nord-Ouest Abraham Anghik Ruben.
Début janvier, à quelques jours de son investiture, le président Donald Trump a déclaré vouloir acheter le Groenland ! Comme en 2019 déjà, lors de son précédent mandat...Il n'est d'ailleurs pas le premier homme politique américain à s'intéresser à l'île. A plusieurs reprises, les Etats-Unis avaient proposé d’acquérir le Groenland : en 1867, en 1910, et après la Seconde Guerre mondiale..
L'enjeu serait aujourd'hui de contrer les influences croissantes dans cette région stratégique de la Russie et de la Chine, qui présentent un risque pour la sécurité nationale des Etats-Unis.
Une base militaire américaine étant déjà implantée au Groenland, l'étendre permettrait de renforcer la surveillance des mouvements navals russes dans l'Océan Arctique et l'Atlantique nord.
D'autre part, les sols arctiques contiennent des gisements de "minéraux critiques", des matières premières nécessaires à la fabrication de nombreux produits et appareils technologiques spécialisés. Or, la Chine, qui est l'un des principaux fournisseurs mondiaux de ces minéraux, a augmenté les restrictions de ses exportations, dans le cadre de la guerre commerciale qui l'oppose aux Etats-Unis..Accéder aux considérables richesses minérales du Groenland permettrait aux américains de sécuriser leur chaîne d'approvisionnement, tout en limitant l'influence chinoise en la matière.
A ces aspirations économiques concurrentes, s'ajoute la coopération militaire entre la Chine et la Russie, les 2 puissances rivales des Etats-Unis...
Pour Trump, le contrôle du Groenland est donc "une nécessité absolue", n'excluant pas, lors d'un entretien du 7 janvier dernier, le recours à la force économique ou militaire, pour y parvenir...
Le Groenland et le Danemark ont bien sûr tous deux rejeté "l"offre" du président élu, affirmant que l'île n'était pas à vendre...Tandis que d'autres pays d'Europe, comme la France ou l' Allemagne ont vivement condamné ses propos.
Bien que fondé sur une réalité géopolitique, ce projet risque de dégrader les relations de Washington avec ses plus proches alliés, d'affaiblir l'Otan, et de ce fait l'influence même des Etats-Unis sur la scène internationale.
Par ailleurs, dans un contexte où le Groenland cherche à obtenir son indépendance vis-à-vis du Danemark, le premier ministre groenlandais Mute Edege a déclaré, à la suite des propos du président américain , qu'il appartient à ce territoire "lui-même de décider de son indépendance", tout en indiquant : " nous avons commencé à entamer un dialogue et à chercher des possibilités de coopération avec M Trump". envisageant un éventuel renforcement des liens avec les Etats-Unis, dans l'objectif de garantir la sécurité dans l'Arctique.
De l'Art inuit sur la lune !
Avez-vous déjà entendu parler du Lunar Codex, ce projet fou du physicien et collectionneur canadien Samuel Peralta, d'envoyer 40 000 œuvres d'artistes, écrivains, musiciens et réalisateurs du monde entier sur la lune, en format numérique ?
En tout, 25 000 artefacts culturels : romans, musiques, poèmes, films et arts visuels , mais également catalogues d'expositions ou de ventes aux enchères, seront envoyés dans l'espace, à travers 7 missions de la NASA, représentant au total 259 pays et territoires, et 149 nations autochtones.
Trois capsules de ces archives de notre civilisation ont été envoyées depuis 2022...La quatrième, propulsée le 14 janvier, a la particularité de ne contenir que des œuvres autochtones, dont une grande partie en provenance du Canada. A ce propos, Samuel Peralta déclare : "Je pense qu'il s'agit d'un premier pas vers la vérité et la réconciliation, et je trouve cela très important".
Le projet comprend des contributions de diverses institutions, notamment celle du Musée d'art inuit de Toronto (désormais fermé), ou celle du Relations Couronne-Autochtones et Affaires du Nord Canada (RCAANC).
Lors de missions ultérieures prévues pour 2025, seront envoyées, entre autres, des œuvres du célèbre artiste des Territoires du Nord-Ouest Abraham Anghik Ruben.
Le tatouage dans l'Art
Pratique culturelle ancestrale, le tatouage facial ou corporel, qui ornait le corps des femmes inuit durant des millénaires, avait une fonction sociale, esthétique et même spirituelle.
Ces tatouages étaient "cousus", c'est-à-dire qu'on trempait un tendon qui servait de fil dans une mélange à base de suie, que l'on passait sous la peau au moyen d'une aiguille faite d'éclats d'os, formant ainsi le motif désiré à l'aide de multiples points sous la peau.
Avec l'arrivée des missionnaires chrétiens au XIX ème siècle, cette forme d'expression, considérée comme "porteuse de péché" fut interdite, manquant de peu disparaître...Aujourd'hui, cette discipline est portée par une nouvelle génération de tatoueurs inuit, qui s'inspirent du savoir-faire traditionnel.
Dans la sphère artistique, cette coutume continue d'influencer les travaux contemporains. Que ce soit dans le domaine de la sculpture, ou dans celui des arts graphiques, le tatouage inuit est bien vivant, servant de pont entre le passé et le présent.
Le musée des Beaux-Arts du Canada propose d'ailleurs une salle entièrement dédiée à ce sujet : Marques de beauté : Tatouages inuit dans l'art (Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa, jusqu'au printemps 2025).
Du changement à la galerie
Après 16 années passées à vous accueillir à la galerie avec très grand plaisir, Nathalie va finalement voguer vers d'autres pôles....Souhaitons-lui bons vents...
A partir de début mars, c'est désormais Madame Anne Soto Kemp qui vous recevra, de 12h à 19h, toujours du mardi au samedi...Bienvenue !
Pratique culturelle ancestrale, le tatouage facial ou corporel, qui ornait le corps des femmes inuit durant des millénaires, avait une fonction sociale, esthétique et même spirituelle.
Ces tatouages étaient "cousus", c'est-à-dire qu'on trempait un tendon qui servait de fil dans une mélange à base de suie, que l'on passait sous la peau au moyen d'une aiguille faite d'éclats d'os, formant ainsi le motif désiré à l'aide de multiples points sous la peau.
Avec l'arrivée des missionnaires chrétiens au XIX ème siècle, cette forme d'expression, considérée comme "porteuse de péché" fut interdite, manquant de peu disparaître...Aujourd'hui, cette discipline est portée par une nouvelle génération de tatoueurs inuit, qui s'inspirent du savoir-faire traditionnel.
Dans la sphère artistique, cette coutume continue d'influencer les travaux contemporains. Que ce soit dans le domaine de la sculpture, ou dans celui des arts graphiques, le tatouage inuit est bien vivant, servant de pont entre le passé et le présent.
Le musée des Beaux-Arts du Canada propose d'ailleurs une salle entièrement dédiée à ce sujet : Marques de beauté : Tatouages inuit dans l'art (Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa, jusqu'au printemps 2025).
Du changement à la galerie
Après 16 années passées à vous accueillir à la galerie avec très grand plaisir, Nathalie va finalement voguer vers d'autres pôles....Souhaitons-lui bons vents...
A partir de début mars, c'est désormais Madame Anne Soto Kemp qui vous recevra, de 12h à 19h, toujours du mardi au samedi...Bienvenue !
> Rétrospective 2024, Films, Horaires d'ouverture
Rétrospective
Cette année 2024 a été riche en émotions avec :
- Un record d'enchères pour une exceptionnelle gravure de la très célèbre Kenojuak Ashevak.
Lors d'une vente aux enchères au Canada en novembre, son estampe la plus connue, "la chouette enchantée" de 1960, s'est vendue en rouge et noir pour deux cent cinquante neuf mille deux cent cinquante dollars.
Pourtant cette somme a été dépassée lors de la vente en décembre de la même estampe, mais celle-ci en bleu.
Ce tirage bleu avait été réalisé en "essai" avant que la coopérative décide de faire 25 exemplaires en rouge et noir et en 25 en vert et noir.
Il n'existerait que 2 ou 3 tirages en bleu.
Celui vendu, numéroté AP II, (Artist Proof / tirage d'artiste) a atteint la somme record de trois cent trente six mille dollars (environ 250 000 euros)... !
- Le décès de Pitseolak Qimirpik de Kimmirut.
Connu pour ses oiseaux en vol et ses chouettes, Pitseolak était parti en octobre avec son fils Suati chercher de la serpentine, afin d'avoir suffisamment de pierre pour sculpter durant l'hiver.
La serpentine utilisée est extraite à distance de Kimmirut, dans une zone où la pierre affleure (à Markham Bay, environ 200km, ou Kotoq Inlet encore plus loin).
Les artistes s'y rendent en bateau, qu'ils chargent le plus souvent au maximum afin d'optimiser le voyage.
Malheureusement le moindre problème, comme des vagues un peu plus hautes ou un contact avec de la glace, peut faire chavirer le petit bateau !
C'est probablement ce qui s'est produit...
Seul le corps de Suati a été retrouvé par les secours, à proximité du bateau.
Toutes nos pensées à sa famille.
- Phoques et grippe aviaire Alors que jusqu'à présent le Nord était épargné, les deux phoques retrouvés en octobre près de Resolute Bay ont été déclarés mort de la grippe aviaire, après analyses.
Les autorités sanitaires se veulent rassurantes, car il est rare que les mammifères contractent la maladie. Et il n'y a aucune preuve que cela se transmette aux humains par consommation de viande cuite, d'oiseaux ou d’œufs jusqu'à présent.
Cette année 2024 a été riche en émotions avec :
- Un record d'enchères pour une exceptionnelle gravure de la très célèbre Kenojuak Ashevak.
Lors d'une vente aux enchères au Canada en novembre, son estampe la plus connue, "la chouette enchantée" de 1960, s'est vendue en rouge et noir pour deux cent cinquante neuf mille deux cent cinquante dollars.
Pourtant cette somme a été dépassée lors de la vente en décembre de la même estampe, mais celle-ci en bleu.
Ce tirage bleu avait été réalisé en "essai" avant que la coopérative décide de faire 25 exemplaires en rouge et noir et en 25 en vert et noir.
Il n'existerait que 2 ou 3 tirages en bleu.
Celui vendu, numéroté AP II, (Artist Proof / tirage d'artiste) a atteint la somme record de trois cent trente six mille dollars (environ 250 000 euros)... !
- Le décès de Pitseolak Qimirpik de Kimmirut.
Connu pour ses oiseaux en vol et ses chouettes, Pitseolak était parti en octobre avec son fils Suati chercher de la serpentine, afin d'avoir suffisamment de pierre pour sculpter durant l'hiver.
La serpentine utilisée est extraite à distance de Kimmirut, dans une zone où la pierre affleure (à Markham Bay, environ 200km, ou Kotoq Inlet encore plus loin).
Les artistes s'y rendent en bateau, qu'ils chargent le plus souvent au maximum afin d'optimiser le voyage.
Malheureusement le moindre problème, comme des vagues un peu plus hautes ou un contact avec de la glace, peut faire chavirer le petit bateau !
C'est probablement ce qui s'est produit...
Seul le corps de Suati a été retrouvé par les secours, à proximité du bateau.
Toutes nos pensées à sa famille.
- Phoques et grippe aviaire Alors que jusqu'à présent le Nord était épargné, les deux phoques retrouvés en octobre près de Resolute Bay ont été déclarés mort de la grippe aviaire, après analyses.
Les autorités sanitaires se veulent rassurantes, car il est rare que les mammifères contractent la maladie. Et il n'y a aucune preuve que cela se transmette aux humains par consommation de viande cuite, d'oiseaux ou d’œufs jusqu'à présent.
- Réchauffement
Un rapport en Alaska montre les répercussions du changement climatique.
Les experts ont travaillé sur les précipitations, les tempêtes, les inondations, les feux de forêts, mais aussi sur les saumons, les glaciers, les mammifères...
De très nombreuses informations sur :
Alaska’s Changing Environment | ACCAP
- Réchauffement encore !
Alors que la moyenne des températures pour un 31 décembre y est de -19°, il a fait un degré mardi après-midi à Kuujjuaq au Nord du Québec, soit 20° de plus que la norme !
Cela inquiète beaucoup les habitants qui ont l'habitude de circuler sur les étendues glacées de mer et de rivières qui, pour l'instant, ne sont pas complètement gelées. Cela a des répercussions importantes sur leurs activités traditionnelles de chasse et pêche sur la glace.
Quelques films pour vos soirées d'hiver, à retrouver sur le site de l'Office National du Film du Canada ( www.onf.ca) :
- Lumaajuuq
Court-métrage d'animation racontant la légende du garçon aveugle.
Récit tragique sur les risques de la vengeance.
Alethea Arnaquq- Baril, 2010 - 7 minutes
- Qalupalik
Court métrage d'animation : Qalupalik, monstre marin à moitié humain s'attaque aux enfants qui désobéissent à leurs parents...
Ame Papatsie, 2010 - 5 minutes
- La nuit du Nalujuk
Documentaire en noir et blanc sur une tradition du Labrador où un être surnaturel arrive à la rencontre des habitants.
Jennie Williams, 2021- 13minutes
- Si le temps le permet
Documentaire personnel de l'artiste Elisapee Isaac.
Dans le village de Kangirsujuaq, au Nunavik, traditions et modernité se croisent quotidiennement...
2003 - 27 minutes
- Trois mille
Ce film expérimental fait appel aux plans d'archives et à l'animation pour faire découvrir 3000 ans de culture inuit en trois chapitres : le passé, le présent et l'avenir.
2017- 14 minutes
- Shaman :
La légende d'un féroce ours polaire transformé en pierre par le chamane du village.
Echo Enoche, 2017 - 5 minutes
Attention nouveaux horaires : A partir du mois de janvier, la galerie vous accueillera toujours du mardi au samedi mais de 12h à 19h au lieu de 11h/19h.
Un rapport en Alaska montre les répercussions du changement climatique.
Les experts ont travaillé sur les précipitations, les tempêtes, les inondations, les feux de forêts, mais aussi sur les saumons, les glaciers, les mammifères...
De très nombreuses informations sur :
Alaska’s Changing Environment | ACCAP
- Réchauffement encore !
Alors que la moyenne des températures pour un 31 décembre y est de -19°, il a fait un degré mardi après-midi à Kuujjuaq au Nord du Québec, soit 20° de plus que la norme !
Cela inquiète beaucoup les habitants qui ont l'habitude de circuler sur les étendues glacées de mer et de rivières qui, pour l'instant, ne sont pas complètement gelées. Cela a des répercussions importantes sur leurs activités traditionnelles de chasse et pêche sur la glace.
Quelques films pour vos soirées d'hiver, à retrouver sur le site de l'Office National du Film du Canada ( www.onf.ca) :
- Lumaajuuq
Court-métrage d'animation racontant la légende du garçon aveugle.
Récit tragique sur les risques de la vengeance.
Alethea Arnaquq- Baril, 2010 - 7 minutes
- Qalupalik
Court métrage d'animation : Qalupalik, monstre marin à moitié humain s'attaque aux enfants qui désobéissent à leurs parents...
Ame Papatsie, 2010 - 5 minutes
- La nuit du Nalujuk
Documentaire en noir et blanc sur une tradition du Labrador où un être surnaturel arrive à la rencontre des habitants.
Jennie Williams, 2021- 13minutes
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Documentaire personnel de l'artiste Elisapee Isaac.
Dans le village de Kangirsujuaq, au Nunavik, traditions et modernité se croisent quotidiennement...
2003 - 27 minutes
- Trois mille
Ce film expérimental fait appel aux plans d'archives et à l'animation pour faire découvrir 3000 ans de culture inuit en trois chapitres : le passé, le présent et l'avenir.
2017- 14 minutes
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La légende d'un féroce ours polaire transformé en pierre par le chamane du village.
Echo Enoche, 2017 - 5 minutes
Attention nouveaux horaires : A partir du mois de janvier, la galerie vous accueillera toujours du mardi au samedi mais de 12h à 19h au lieu de 11h/19h.